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Notre voyage aux Caraïbes à bord d’un voilier cinq-mâts

De la Martinique aux Grenadines, en passant par Sainte-Lucie et la Grenade, embarquement pour une semaine à bord du plus grand voilier cinq-mâts du monde. Au menu : détente, exploration et baignade. Chaque matin, un nouveau lieu. Chaque étape révèle une nouvelle île paradisiaque. Retour sur notre voyage aux Caraïbes à bord du Club Med 2.

Départ  

Alors que le froid s’est installé en métropole et que chez nous à Strasbourg le sol, les arbres et les toits sont recouverts d’une couche de neige ouatée semblable à du sucre glace, nous nous envolons pour Fort-de-France en Martinique.

Après 9 heures de vol, l’amplitude thermique est saisissante : -12ºC en quittant Strasbourg, +28°C à notre arrivée à Fort-de-France.

Jour 1 : Sainte Lucie

Débarquement au nord de Sainte-Lucie, sur Pigeon Island, un parc national à la végétation luxuriante. D’un côté, les plages paisibles et abritées de la Mer des Caraïbes, de l’autre l’océan impétueux.

Côté Atlantique, le vent fait crépiter les palmes pennées des nombreux cocotiers amassés à la lisière du parc.

Au large, un rocher à la forme de diamant est livré aux éléments.

L’océan, aux teintes camaïeu de bleu, outremer, indigo et turquoise se fracasse en épais rouleaux laiteux à l’approche du rivage. Un paradis pour les surfeurs.

En quittant Pigeon Island, le Club Med 2 navigue, les 7 voiles au vent, le long de la côte vers l’Anse des Pitons. Plusieurs ondées zèbrent de flaques d’eau les ponts en teck récemment rénovés.

Deux pitons rocheux spectaculaires, positionnés l’un à côté de l’autre, se dévoilent progressivement à l’horizon.

Ces deux pitons, couverts d’une végétation dense d’un vert profond, se dressent majestueusement plus de 700 mètres au-dessus de la mer. Ils sont comme deux frères aux caractères opposés : l’un est pointu et acéré comme une canine, l’autre est plus arrondi et plus doux.

Des nuages restent accrochés aux sommets au fond de la baie. Et lorsque la pluie se met à tomber, un double arc-en-ciel complet cintre ce paysage époustouflant, classé au Patrimoine mondial de l’UNESCO.

Le soleil se couche dans des teintes orangées qui remplissent tout l’horizon, avant de plonger dans la mer.

Jour 2 : la Barbade

La Barbade est une île corallienne à l’inverse de ses voisines volcaniques. Son relief limité n’empêche pas certains sites, comme le Parc National de Farley Hill et le cimetière de St John’s Parish Church, d’être perchés sur des collines et d’offrir des panoramas spectaculaires sur l’Atlantique. Depuis ces belvédères, nous observons le ballet régulier des rouleaux blancs mousseux qui s’abattent sur le rivage.

La Barbade est une île de contrastes : l’animation de la capitale Bridgetown et le côté sauvage de la côte Nord. Des plages de sable blanc et des champs de canne à sucre. Des maisonnettes modestes en bois et des villas cossues, comme celle de Rihanna, estimée à plusieurs dizaines de millions de dollars (la chanteuse est originaire de La Barbade).

Les rochers de la plage de Bathsheba semblent avoir été posés là par un géant et polis par la houle et le vent. La plage est bordée de cocotiers et balayée par l’Atlantique, qui dépose sur le sable un tapis de sargasses bruns au parfum iodé.

Au crépuscule, le soleil forme une petite bille dorée au-dessus de l’horizon. Un nuage gris à la silhouette de tortue volante apparaît furtivement, le temps de prendre la pose.

Après le dîner, nous passons un long moment à la proue du bateau à observer les étoiles. Le ciel noir d’encre, sans nuage ni lune, est couvert de centaines de paillettes scintillantes. Stéphanie n’en a jamais vu autant. Nous nous arrêtons de compter à 800. Jérôme croit apercevoir une étoile filante. Réelle ou le fruit de son imagination ? Peu importe, c’est le moment de faire un vœu.

 

Jour 3 : Bequia

Bequia (prononcé Bécoué) est la plus grande île de l’archipel des Grenadines. La baie de Port Elizabeth dévoile des îlots bosselés, semblables à des carapaces de tortues couvertes de végétation verte touffue. Des villas dissimulées à flanc de colline composent une palette acidulée. Quelques voiliers au mouillage, ballottés par les eaux calmes, ajoutent au caractère paisible de ce paysage paradisiaque.

Le village de Port Elizabeth est animé et coloré. Les habitants sont accueillants et détendus. Ils n’hésitent pas à discuter avec les touristes de passage, dans un anglais à l’accent créole chantant. Jérôme échange avec plusieurs d’entre eux le temps d’un gros grain, à l’abri sous le feuillage d’un arbre. En longeant la côte à pied, nous admirons le ballet élégant et le plongeon des frégates et des fous bruns, deux espèces d’oiseaux marins. 

Cet après-midi-là, Stéphanie profite d’un soin Sothys à bord : gommage et modelages ressourçants d’inspiration japonaise au lotus et à la fleur de cerisier. Un moment de raffinement, de détente et de bien-être.

Le coucher de soleil derrière trois îlots ourle le contour des nuages d’un liseré barbe à papa.

Quelques instants plus tard, le ciel s’embrase de mauve et doré et les premières planètes sont déjà visibles.

Jour 4 : la Grenade

Buller au soleil sur une plage de sable fin fait partie du programme traditionnel d’un voyage aux Caraïbes. Mais certaines îles incitent à l’exploration. La Grenade en est l’illustration.

L’île aux Épices doit son surnom à la culture de la noix de muscade, du curcuma, du clou de girofle et de la cannelle. La muscade, qui orne le drapeau de la Grenade, est considérée comme un joyau national. Notre chauffeur, sosie local de Gims, traverse l’île de part en part sur des routes sinueuses et escarpées, de la côte Caraïbe à la côte Atlantique, de bourgades animées en hameaux paisibles. 

Deux jeunes plongeurs sautent habilement du haut de la cascade de la Concorde en échange de quelques dollars caribéens. 

La chocolaterie de la Diamond Chocolate Factory à Victoria exhale des odeurs enveloppantes de cacao. Nous découvrons les différentes étapes de la fabrication du chocolat, depuis la récolte des cabosses de cacao jusqu’à la tablette de chocolat. Nous dégustons plusieurs variétés de chocolat transformées sur place et réparties selon leur niveau de concentration en cacao (60%, 70%, 74%, 100%). Le 70% aromatisé à la muscade est le préféré de Stéphanie. 

En plus du cacao, de la muscade, du poivre noir, du gingembre, de la citronnelle et de l’orange amère poussent dans les jardins de la chocolaterie. Un tapis de coques de noix de muscade craque sous chacun de nos pas. Un lézard se prélasse sur le tronc d’un cacaoyer.

Nous ouvrons une muscade fraîche. Son parfum est enivrant.

Nous traversons des villages typiques aux maisons jaunes, vertes ou rouges (les couleurs de la Grenade) en bois, sur pilotis. Chiens, poules, chèvres et moutons se promènent librement dans les jardins. Plus loin, du reggae s’échappe des bars de Gouyave. Des hommes attablés nous saluent souriants, une bouteille de bière à la main. Des enfants souriants agitent la main au bord de la route à notre passage. Les habitants de la Grenade sont joyeux, accueillants et attachés à leur île.

La route étroite se fraie un passage à travers la végétation dense : muscadiers, cacaoyers, bananiers, cocotiers… À certains endroits, la forêt tropicale donne l’impression d’être une jungle épaisse.

Dans plusieurs villages, les odeurs de viande et de poisson grillés dans des barbecues faits à partir de bonbonnes de gaz découpées, nous mettent en appétit.

Le Club Med 2 s’élance vers l’étape du lendemain peu après le coucher du soleil. Le départ est rythmé comme chaque jour par la bande originale du film 1492 : Christophe Colomb composée par Vangelis. 

Pendant la navigation, le son mousseux du bateau qui fend les flots est apaisant et le spectacle de l’écume qui se dépose par gerbes vaporeuses le long de la coque est hypnotisant.

La côte illuminée de la Grenade s’éloigne lentement et dessine peu à peu comme une parure de pierres précieuses dont la forme suit le relief escarpé de l’île. À bâbord, les dernières lueurs du coucher de soleil s’apparentent aux restes rougeoyants d’un feu de cheminée.

Jour 5 : Tobago Cays

Un drapeau de Saint-Vincent-et-les-Grenadines flotte au vent. 

Au large, un voilier à l’oblique louvoie entre de minuscules récifs. Il navigue sur une eau cristalline aux nuances aigues-marines, azures et turquoises, en prenant soin de contourner la barrière de corail qui forme des filaments d’écume à la surface.

À terre, le paysage est idyllique. Une plage de sable blanc abritée par des cocotiers qui s’agitent dans le vent. La sensation agréable de nos pieds nus qui s’enfoncent dans le sable chaud. Le son apaisant du va-et-vient régulier de la Mer des Caraïbes sur le sable. 

L’eau à près de 30°C est à parfaite température pour se baigner. En snorkeling (masque et tuba) dans ces eaux limpides, Jérôme nage à distance avec 2 raies léopards qui se déplacent au-dessus du fond sablonneux dans des mouvements lents et amples. Il croise aussi des petits poissons multicolores et un banc d’une quarantaine de poissons-anges gris. Le fond est parsemé de dizaines de conques et d’algues qui suivent le mouvement de la houle.

De retour sur le bateau, nous nous régalons d’un délicieux déjeuner de poisson frais grillé à la plancha. Nous nous installons ensuite les doigts de pied en éventail sur une chaise longue, sur l’un des ponts extérieurs. L’après-midi ensoleillée est propice au farniente en sirotant un jus de fruits frais ou un cocktail. La douceur des Alizés nous caresse la peau.

Ce soir-là, le roi soleil doré s’entoure d’une écharpe de nuages argentés avant le crépuscule. Il tire sa révérence laissant derrière lui une variation de teintes du jaune-orangé au rose et mauve.

Jour 6 : Mayreau

Alors que Bequia est la plus grande île habitée de l’archipel des Grenadines, Mayreau est la plus petite. Le beacher nous dépose sur la plage de Saline Bay, une plage idyllique de sable blanc poudreux entourée de cocotiers.

Une route traverse l’unique village et serpente entre les maisons colorées jusqu’au point culminant de l’île où une église catholique a été construite.

L’ambiance à Old Wall est festive, les enfants et adultes que nous croisons sont sympathiques. Un high five avec un petit garçon. Une fillette souriante nous salue d’une voix douce. Un check de la main et quelques mots échangés avec Phillip with two L’s, un joueur de djembé du village.

Du haut de la colline, le point de vue sur les eaux cristallines de la Mer des Caraïbes et les îlots verdoyants alentour est magnifique. 

En redescendant, une libellule charnue et des papillons jaune citron s’entrecroisent dans le vent. Une chèvre grignote des peaux de banane sous un bougainvillier en fleur. Des habitations aux couleurs kiwi et papaye font vrombir des morceaux de soca caribéenne.

Déjeuner pique-nique les pieds dans le sable au rythme de la musique live de 5 joueurs de steel drum. Barbecue créole, buffet de fruits exotiques (ramboutan, banane naine, physalis, kumquat, mangoustan, noix de coco fraîchement coupée). Beach party, baignade et détente sur une chaise longue ponctuent l’après-midi.

De retour à bord, nous profitons du paysage qui entoure notre bateau au mouillage. De petits îlots rocheux chapeautés de végétation affleurent.

Stéphanie observe la surface de l’eau qui ressemble aux écailles ondulantes de la peau d’un crocodile. Jérôme suit le passage d’un voilier, en marchant de la poupe à la proue sur le pont à tribord. Le voilier s’éloigne lentement en direction d’une île qui dessine la silhouette d’un moaï allongé. Deux fous bruns planent entre les cumulus qui passent sur l’horizon.

Le Club Med 2 appareille à la tombée du jour. Les rayons du soleil ressemblent à des projecteurs couleur abricot qui entourent un nuage à la silhouette de bateau pirate. 

Le vent se lève et gonfle les voiles. Quelques instants plus tard, le ciel est encore éclairé de nuances du jaune clair au mauve. Le croissant de lune nous sourit. Nous dépassons une île brumeuse, le gigantesque drapeau français à la poupe flotte à l’horizontal. 

L’odeur caractéristique de la pluie. Un gros grain assombrit le teck des ponts extérieurs. Le vent souffle en rafales, s’engouffre dans les coursives, fait danser les tissus des nappes et des vêtements. 

Dernier apéritif avant le dîner, dernier ti-punch (rhum local, sirop de canne et citron vert) avant le retour. Nous passons par notre piste aux étoiles, à la proue. Autant d’étoiles que la première fois, mais le vent souffle beaucoup plus fort. Nous avons du mal à nous tenir debout.

Certainement le signe qu’il est temps de préparer nos bagages, avant de profiter de la dernière soirée à bord. 

Lors de la traversée en pleine mer vers la Martinique, notre bateau s’agite, tangue et roule comme un cheval fougueux qui cherche à désarçonner son cavalier. Il ne se débarrassera pas de nous aussi facilement.

Jour 7 : Fort-de-France et retour

Retour à Fort-de-France, notre point de départ, pour boucler la boucle. La valise de Stéphanie peine à se fermer. Elle non plus ne veut pas rentrer. 

Courte exploration matinale de la capitale de la Martinique.

La Bibliothèque Schœlcher à l’architecture Art Nouveau et entourée de deux arbres du voyageur, le marché couvert aux épices, la Cathédrale et le Fort Saint-Louis, le front de mer et des fresques de street art.

Mode spleen du retour activé. Nous descendons par l’échelle de coupée pour la dernière fois et quittons cette parenthèse déconnectée du monde réel et des contraintes du quotidien. Le long du tablier du quai, un petit crabe agite sa pince vers nous, comme pour nous dire Au revoir ! En route vers l’aéroport, des dizaines d’images nous reviennent à l’esprit. Il n’est pas simple de quitter un petit coin de paradis ensoleillé et les gens que nous avons rencontrés à bord, pour retrouver la grisaille hivernale.

Nos conseils

• Passeport 

Prévoyez un passeport valide au moins 6 mois après votre retour.

• Photos de votre bagage avant le départ 

Prenez votre bagage en photo avant l’enregistrement de votre premier vol. Cette image pourra vous servir à justifier son état avant votre départ, en cas de détérioration et à l’identifier s’il manque à votre arrivée à destination.

• Dollars américains  

En dehors de l’Europe, emportez des dollars américains en petites coupures pour vos achats sur place.

• Décalage horaire 

Pour limiter les effets du décalage horaire, dormez autant que possible pendant les vols surtout si vous voyagez de nuit (le vol retour des Antilles est un vol de nuit). Dès votre arrivée dans l’avion, réglez votre montre à l’heure de votre destination. Il y a par exemple 5 heures de décalage horaire entre Paris et Fort-de-France en hiver et 6 heures en été.

• Tenue de rechange pour votre vol

Prévoyez de changer de vêtements à l’aéroport, après les contrôles de sécurité. Optez pour des vêtements longs et amples pour les vols transatlantiques.

• Choix de cabine

Privilégiez les cabines vers l’avant du bateau, évitez celles à l’arrière (plus bruyantes) et à proximité des ascenseurs et de l’échelle de coupée (pont C).

• Excursions 

Si vous êtes intéressé(e) pour une ou plusieurs excursion(s) proposée(s) par le Club Med 2, réservez-la (les) avant le départ. Le tarif sera plus élevé à bord.

• Digital detox 

Hors Europe, profitez de votre séjour pour vous déconnecter de votre smartphone et/ou de votre tablette. Le wifi à bord est payant et instable.

• Mal de mer 

La navigation peut être agitée. Si vous êtes sujet(te) au mal de mer, consultez votre médecin avant le départ.

• Médicaments 

Si vous suivez un traitement médical, veillez à emporter vos médicaments. Un médecin consulte à bord (la consultation et les médicaments sont payants). Une infirmière est aussi à bord.

• Tongs 

Emportez une paire de tongs qui ne craignent pas l’eau, pour les débarquements sur des plages et en cas de pluie.

• Rapporter de l’alcool 

Si vous voulez rapporter de l’alcool local (rhum aux Antilles par exemple), achetez-le au Duty free après les contrôles de sécurité à l’aéroport de retour. Il sera moins cher et cela évitera que les bouteilles déversent leur contenu dans votre bagage. Vérifiez auprès de la douane, les quantités que vous pouvez rapporter.

À propos du Club Med 2

Avec ses 187 mètres de longueur, 67,5 mètres de hauteur et 7 voiles, le Club Med 2 est le plus grand voilier cinq-mâts du monde. Il navigue principalement le soir et la nuit pour arriver chaque matin dans un nouveau lieu. Son faible tirant d’eau lui permet d’aller là où les géants des mers ne peuvent pas accéder. Grand voilier à taille humaine, il peut accueillir 320 passagers et presque autant de membres d’équipage. 

L’équipe G.O met tout en œuvre pour que chaque passager profite pleinement de son séjour. L’accent est mis sur l’ambiance conviviale et le raffinement.

La formule tout compris pour tous les passagers inclut l’hébergement, les repas, boissons et snacks et les activités sportives. Des activités et animations à bord sont prévues tous les jours : spectacles, sessions de yoga, ateliers et initiations, tea time, musique live, DJ set…

Les ponts inférieurs (B, C et D) sont consacrés aux cabines des passagers et de l’équipage. Plusieurs suites sont situées sur les ponts D et F. 

Les cabines du pont D sont spacieuses et confortables. Elles sont bien organisées et disposent de nombreux espaces de rangement. Toutes les cabines passagers donnent vers l’extérieur et comptent deux hublots ou des sabords. Un majordome veille deux fois par jour à leur propreté.

Les 3 ponts supérieurs (E, F, G) accueillent les salons, les 2 restaurants (à la proue), les 3 bars (à la poupe), les 2 petites piscines et les ponts extérieurs.

Des rénovations majeures en 2022

Plusieurs espaces du bateau ont été rénovés en 2022 : le hall d’accueil, le salon principal et la salle de spectacle (Yacht Club Lounge). L’un des restaurants (Le Monte-Carlo), les bars (Le Saint-Barth et Le Cannes) ont été entièrement redesignés. 

Tous les ponts en teck (2700 m²) ont été rénovés, les 7 voiles et le mobilier extérieur ont été entièrement remplacés. 

De nouveaux équipements de cardio-training ont renforcé l’espace Fitness. Le Wing Foil et le Paddle Board complètent les activités sportives proposées au hall nautique (snorkeling, kayak, voile…).

Pour les repas, Le Saint-Tropez est un fonctionnel et propose un buffet au petit déjeuner, au déjeuner et au dîner. Les plats sont variés, goûteux, équilibrés et adaptés aux goûts de chacun. À chaque déjeuner et dîner, un poisson grillé à la plancha est proposé (vivaneau, marlin, saumon, thon…). 

Le Monte-Carlo est ouvert pour les snacks de l’après-midi et au dîner. L’ambiance est intimiste, claire et lumineuse. La décoration a été entièrement repensée en 2022. Elle met en valeur les marqueurs de l’univers nautique (lentille d’un phare, cordes, sextant, bibliothèque de livres sur les voiliers, les régates et l’océan), en y associant des sièges jaune profond, vert, bleu pétrole, une moquette turquoise et crème, un parquet et des encadrements de portes en bois clair. Le menu bistronomique signé Ferrandi propose un choix de 2 entrées, 3 plats (viande, poisson ou végétarien) et 2 desserts. 

Cet article reflète notre avis et n’a fait l’objet d’aucune compensation financière.

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